Archives de catégorie : Associations Cinéphiles

Projection du film « Les chemins du retour ».

Casa Doc’ vous invite à la projection du film « Les chemins du retour » première partie, avec la présence de Benki Piyako de la tribu Ashaninka au Brésil et de la réalisatrice Julie Couturier.

 

Synopsis :
Benki Piyako, fils du cacique du peuple Ashaninka en Amazonie, décide de s’éloigner de sa tribu pour se rapprocher de la ville de « Maréchal Thaumaturgo » et ainsi assurer le rôle de directeur au secrétariat de l’environnement. Cette expérience l’a amené à créer Le 7 juillet 2007, le centre YORENKA ATAME, l’école des savoirs de la Forêt Amazonienne, un lieu d’accueil et d’échanges avec le monde entier dédié à la préservation de l’environnement dans tous ces aspects. Outre son action politique pour le développement et l’autonomie économique des peuples indigènes et son rôle d’ambassadeur internationale de la cause, Benki, pàjé (sage) de la communauté, dans sa relation profonde à la nature, relie l’homme au spirituel dans ce qu’il a d’essentiel.ier et de Benki Piyako de la tribu Ashaninka au Brésil.
°**Buffet participatif
***Accès gratuit, places limitées. �Capacité de la salle : environ 20 personnes – �Réservation par mail – assocasadoc@gmail.com
* Adhésion 10€/an, 5€ seront reversés à l’association de Benki
** places limitées – réservation conseillée sur assocasadoc@gmail.com et au 06 35 39 28 99
*** participation libre, reversée à l’association de Benki
***5 rue du 24 mars, Bus 5 arrêt Courbet,17 h 19 h.

Cet évènement s’inscrit dans le cadre d’ Amazonice qui a lieu du 15 au 17 novembre 2019, projet porté par Julie Couturier de Casa Doc’, en partenariat avec Papillons Voyageurs, la ville de Carros, la ville de Gattières, Forum Jacques Prévert, Le potager de Saquier Nice, Foundation House of Indians.

Nice: Daniel Mermet au cinéma Pathé Massena pour présenter Howard ZINN- Une histoire populaire.

arton50AvecLogossmallAU CINÉMA PATHÉ MASSÉNA -NICE
Dimanche 10 mai à 20h
En présence de Daniel Mermet
Tarif : 7,50€ / Membre des associations partenaires  : 6€
(sur présentation justificatif)

UNE HISTOIRE POPULAIRE AMERICAINE – Howard ZINN
Un film de Olivier Azam et Daniel Mermet
(sortie le 29 avril) 
L ‘ECLAT s’associe pour une séance spéciale en exclusivité du film de Olivier Azam et Daniel Mermet en partenariat avec Les cinémas Pathé Masséna et Mercury, les associations ADN,  Amnesty International, Cinémas sans frontière, Héliotrope, les amis du Monde diplomatique.


Débat en présence de Daniel Mermet.

Après le documentaire CHOMSKY et Cie, Olivier Azam et Daniel Mermet dressent le portrait de l’historien des oubliés de l’histoire officielle et des grandes luttes populaires… »
« Avec l’énorme succès de son livre Une histoire populaire des Etats-Unis, Howard Zinn a changé le regard des Américains sur eux-mêmes. Zinn parle de ceux qui ne parlent pas dans l’histoire officielle, les esclaves, les Indiens, les déserteurs, les ouvrières du textile, les syndicalistes et tous les inaperçus en lutte pour briser leurs chaînes.

HOWARD ZINN : UNE HISTOIRE POPULAIRE AMÉRICAINE
1ère Partie : DU PAIN ET DES ROSES
De Olivier Azam & Daniel Mermet  (France, 2015, 1H41)
Avec : Howard Zinn, Noam Chomsky, Chris Hedges… 
« Tant que les lapins n’ont pas d’historiens, l’histoire est racontée par les chasseurs. » Howard Zinn« Au Début du XIXème siècle, les parents d’Howard Zinn, débarquent d’Europe de l’Est à Ellis Island, comme des millions de migrants qui rêvent de terre promise, qui rêvent de fortune, qui rêvent simplement d’une vie meilleure… Ils découvrent l’Amérique. »« DU PAIN ET DES ROSES est le premier long métrage d’une trilogie en devenir qui va parcourir l’histoire populaire des États-Unis de Christophe Colomb à nos jours, à travers l’histoire personnelle extraordinaire de Howard Zinn, historien des lapins… « Avec l’énorme succès de son livre Une histoire populaire des Etats-Unis, Howard Zinn a changé le regard des Américains sur eux-mêmes. Zinn parle de ceux qui ne parlent pas dans l’histoire officielle, les esclaves, les Indiens, les déserteurs, les ouvrières du textile, les syndicalistes et tous les inaperçus en lutte pour briser leurs chaînes »

Reprise du film au cinéma Mercury à partir du mercredi 13 mai

VERS MADRID : Ciné débat avec AdN – CSF – Héliotrope

Vendredi 10 avril – 20h30 au Cinéma Mercury
Place Garibaldi – Nice
Vers Madrid   enprésence du réalisateur Sylvain George
Séance proposée par  les associations  :  Cinéma sans Frontières, Regard Indépendant, Héliotrope et AdN. Ces mêmes associations et Amnesty avaient reçu en 2013 Sylvain George pour un week end avec les projections de :
Les éclats (mon nom, ma gueule, ma révolte)
L’impossible (pages arrachées)

A 17 ans, Sylvain George voulait déjà être cinéaste et a toujours pensé le devenir. Il est né en 1968 (!) à Vaulx-en-Velin près de Lyon. Si le cinéma apparaît comme une évidence, sa pratique va mettre un peu de temps à se concrétiser. « J’ai emprunté pour de multiples raisons de multiples chemins de traverse » dit-il, des chemins passant par des études assez longues qui le verront diplômé de troisième cycle en philosophie, histoire, sciences-politiques et cinéma

1200 X600 NON VECTO.inddLa mise en pratique vient à partir de 2006 avec la création de Noir Productions et une première série de films. Des films courts, poétiques, politiques et expérimentaux, tournés sur téléphone portable, en vidéo, en 16mm, en super 8 pour No Border (Aspettavo Che Scendesse La Sera), son premier film de 23 minutes en noir et blanc.

Point commun, un intérêt majeur pour l’immigration et les mouvement sociaux nourrit de son expérience de travailleur social, une activité qu’il prend avec réserves. Il s’agit pour lui de faire les films qu’il a envie de voir, ceux qu’il lui semble urgent de faire, ici et maintenant. Allier recherche formelle et engagement militant, cela rappelle les belles heures du cinéma de la fin des années 60, celui des groupes Medvedkine ou Dziga Vertov, de Chris Marker, Jean-Luc Godard, Jean Pierre Gorin, Jean-Louis Le Tacon…

Il réalise ainsi une série intitulée Contre-feux, il y en aura sept, entre 2005 et 2007. Par exemple, le numéro 4 : Un homme idéal (fragment K.) en 2006 est le portrait d’un Algérien travaillant dans le bâtiment qui, bien que répondant aux critères de régularisation vit toujours avec la menace d’une expulsion. Le film est réalisé dans le prolongement de l’action du 9e Collectif de sans-papiers à Paris. Il est fait au téléphone portable, en couleurs et noir et blanc, et sera diffusé au Festival Pocket films 2007.

En 2009 il passe enfin au long métrage avec L’impossible – Pages arrachées qui mêle Super 8, 16mm, vidéo, Noir et blanc et couleur, une affiche inspirée de l’album des Clash, une bande son avec du free jazz et du punk, des citations de Rimbaud, Lautréamont et Walter Benjamin. Le film passe de Calais à Paris, des migrants clandestins à la manifestation du 1er mai 2009 à Paris.

AFFICHE+Vers+Madrid+05Suivront Qu’ils reposent en révolte (Des figures de guerres I) en 2010 puis Les Éclats (Ma gueule, ma révolte, mon nom) en 2011. Ces films atteignent les salles Qu’ils reposent en révolte (Des figures de Guerre I) est sorti dans les salles françaises en novembre 2011, un an avant la sortie simultanée des films Les Eclats (Ma Son nouveau film, Vers Madrid (The Burning Bright!), a été tourné en 2012 en Espagne, autour du mouvement des indignés (indignados)
«Je fais ce film là parce que ça m’intéresse. On ne travaille pas sur un sujet par hasard. Et en travaillant sur l’immigration, on travaille aussi sur soi».

Du metteur en scène Sylvain George, Nicole Brenez, Spécialiste des avant-gardes, a écrit de son œuvre qu’elle est « Un travail indispensable, qui porte très haut une certaine idée des droits et des devoirs du cinéma.« . Elle le voit également comme « Un de ces artistes «anticorps» qui surgissent à chacune des nouvelles crispations planétaires« .
Du metteur en scène Sylvain George, Nicole Brenez, Spécialiste des avant-gardes, a écrit de son œuvre qu’elle est « Un travail indispensable, qui porte très haut une certaine idée des droits et des devoirs du cinéma.« . Elle le voit également comme « Un de ces artistes «anticorps» qui surgissent à chacune des nouvelles crispations planétaires« .
Extrait d’un article de Regard indépendant
Noir production : Sur facebook
Sur la toile

Présentation et débat avec le réalisateur après la séance.